Une sortie à Sartène; puis la remontée vers le Ferry de Bastia en passant par Corte.
Le lion de Rocapina.
Oxalis pied de chèvre. Encore un invasif d'Afrique du sud. Sur le pourtour des autoroutes autour de Nice.
Au loin le monte Cinto.
Superbe route au dessus du désert des Agriates vers saint Florent.
Cole de Teghime au dessus de Bastia.
Le soleil se lève sur le Ferry. Départ de Bastia.
La cap Corse passé en route vers Nice.
François
Sous la pluie, remontée vers le nord.
Arrivée à Aléria le soleil réapparait.
Le site archéologique d'Aléria.
Le musée.
Quelques vases étrusques.
Pas mal de milans royaux au dessus des routes.
Le matin avant de partir; un groupe de 4 grands corbeaux passent au dessus du maquis.
François
Très belle journée 16 degrés pour Noël.
Bonifacio vide et sous le soleil.
Le phare de la Madonetta.
Les bouches de Bonifacio et la Sardaigne.
Passerine hirsute. ( thymelaea hirsuta)
Peu d'oiseaux. Les tariers pâtres sont en majorité. Des fauvettes mélanocéphales et des rouges gorges.
Le cimetière marin de Bonifacio avec ses routes, ses places et ses surprises.
Belombra ( phytolacca dioica)
Cet arbre argentin semble bien se porter dans les rues.
Côté oiseaux marins, c'est lui le seul présent: le goéland leucophée.
L'escalier du roi d'Aragon seul.
Entrée de grottes marines sous le sentier de bas de falaise.
Vers l'est le capo Pertusato.
Le maquis calcaire vers le phare. Sur l'ancien plateau agricole bonifacien.
L'astragale de Marseille avec ses épines. (le coussin belle mère)
Vue sur les îles Lavezzi.
François
Avant l'arrivée de la pluie d'hiver. Une montée au col de Bavella.
3 degrés la haut et comme souvent sans doute du vent.
Au dessus du maquis l'Uomo di Cagna. La fin des montagnes corses au sud.
Montée vers l'Ospédale.
La Sardaigne à contre jour.
Le lac de l'Ospédale.
Lac de barrage construit en 1979 pour alimenter la région de Porto Vecchio.
Malgré les pluies il semble rester bien bas.
Le granite bien visible autour du lac.
Granite rose à grains fins.
Zonza et les neiges de L'Incudine.
2134 m c'est le mont enclume des corses.
Après quelques cochons nous voilà au col de Bavella.
Le granite et le même qu' au lac de l'Ospédale, mais des parois de plus de 500 m.
Les pins laricio sont de petite taille à cause du vent .
Pas de grands oiseaux. Juste un roitelet huppé et des mésange noires dans les pins.
Le chêne pubescent de Quenza.
Entre deux rochers.
Les piscines naturelles du Cavu.
François
Crée en 1795 les marais salants semblent abandonnés actuellement.
Notre corneille noire est ici remplacée par la corneille mantelée.
Comme tous les corvidés elle fait preuve de beaucoup d'adaptabilité.
Le port de Porto Vecchio et les boules de granite qui émergent le long du rivage.
Un cormoran huppé de la méditerranée. ( ou de Desmaret)
Contrairement à l'espèce atlantique, celui-ci en plumage nuptiale a le bec moins contrasté.
Mouettes et grands cormorans.
Une cisticole des joncs sur les salicornes.
Ce pélican vient du parc de Sigean en Languedoc et semble bien se plaire ici.
Les flamants rose sont très présent sur le site.
Chêne liège et pistachier .
La griffe de sorcière.
Plante grasse originaire d'Afrique du sud. Elle peut tapisser de grandes zones assez rapidement.
Son arrachage se fait à la main l'été.
Un invasif bien ennuyeux.
François
Une température de 16 degrés.
Un tour sur les plages de Porto Vecchio. Chose rare :personne!
Vive l'hiver!
La plage de la Palombaggia.
Très belle évidement. La dune de vieux pins parasols est vraiment superbe.
Les pins sur les rochers.
La plage de la Palombaggia était le paradis des chasseurs et de la malaria. Tout a bien changé dans les années 1970 avec l'arrivée des touristes.
Santa Guilia.
Peu de place autre que pour les touristes de l'été.
L'étang derrière la plage est occupé par des flamants roses.
Sur les bords de plages.
Des feuilles de posidonies apportées par les vagues.
Elles peuvent être parfois collées sous forme de petites boules: aegaropiles.
François
Un séjour en Corse entre lumière et pluie. Le mois de décembre est bien doux sans commune mesure avec le temps glacial du continent.
Arrivée en Corse. Le temps est bien sombre.
Arbousier.
Il est omniprésent dans le maquis. En ce début décembre; c'est un mélange de fleurs et de fruits.
Autour de Porto Vecchio, c'est le territoire du chêne liège.
En altitude et plus au nord le chêne vert le remplace.
Une autre plante du maquis : le myrte.
Le pistachier térébinthe . L'essence de térébenthine lui doit son nom.
Sur le mur du gîte une grosse araignée à côté de tarentes.
Sans doute olios argelasius.
Reconnaissable grâce à ses chaussettes plus foncées.
La tarente de maurétanie.
Ce soir ,le gecko sort en famille. Sur le mûr; il y en a 5 dont un jeune.
La tarente de maurétanie:
Petit Gecko à la pupille verticale qui fait l'acrobate sur les murs.
De sortie le 15 décembre. Après plus de traces de la famille.
La mégère de Corse.
Lépidoptère endémique qui a été séparé de son homonyme du continent.
Un vol autour du 15 décembre. L'individu est cependant bien fatigué.
Stéatoda nobilis.
Cette espèce originaire des Canaries et de Madère a envahi le bassin méditerranéen.
Les deux formes en photo sont de la même espèce. Elle présente en effet beaucoup de variations.
Le chardon laiteux.( galactites tomentosa)
Il préfère les sols acide et sableux.
Le fantôme du maquis: le fauvette mélanocéphale.
Un bout de tête, un bout de queue. L'observation des fauvettes du maquis n'est pas de tout repos.
Parfois des crcrcrcr.
Le matin perché sur un chêne liège, un coup de chance. Voilà la fauvette.
François
L'été a été chaud, les étangs forestiers ne retrouvent plus leur niveau d'eau.
Etang en juillet 2020.
Une grosse invasion de Jussie commence.
En 2021
La Jussie gagne du terrain.
2022 : l'étang se vide.
Au mois de mai. Une première un couple de balbuzards passe sur le site.
En juillet.
En septembre: plus d'eau.
François